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Courte lettre d’un père en paix à son fils anxieux

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Mon fils…

Le jour où j’ai accepté que je ne pouvais contrôler l’Univers, j’ai vaincu mon anxiété.

Le jour où j’ai accepté que je n’étais qu’un homme, avec mes qualités et mes défauts. Mes forces et mes faiblesses. J’ai vaincu mon anxiété.

Le jour où j’ai accepté que je ne choisissais pas mes émotions, mais seulement la façon de réagir à celles-ci, j’ai vaincu mon anxiété.

Le jour où j’ai arrêté de me regarder le nombril et que j’ai pris le temps de me pencher pour aider quelqu’un à se relever, j’ai vaincu mon anxiété.

Le jour où j’ai cessé de m’inventer des scénarios catastrophiques et que j’ai appris à seulement nommer les faits, j’ai vaincu mon anxiété.

Et finalement…

Le jour où j’ai accepté la mort, non pas comme un échec, mais comme une étape de ma vie, j’ai vaincu mon anxiété.

N’oublie jamais que c’est en affrontant le stress de façon graduelle que tu réussiras à te désensibiliser.

Mon fils…

Toi aussi tu vaincras.

Parce qu’on se ressemble.

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